Tu t’entraînes depuis des mois (voire des années).

Tu es constant, tu donnes l’effort, tu as la motivation…

Mais malgré tout, les résultats ne suivent pas.

Tu sens que tu bloques, que tu tournes en rond, et que ta progression est beaucoup trop lente par rapport à ton investissement.

C’est exactement pour toi que j’ai créé ce Guide stratégique en 3 parties : de la stagnation à la progression – c'est très simple : cette semaine je t'enverrai 3 emails (un email tous les deux jours) qui s'adressent aux pratiquants intermédiaires qui s’entraînent dur… mais qui se sentent bloqués dans leurs progrès.

Allons-y avec la partie 1 : les croyances qui sont contribuent à ta stagnation.

Parce que ce qui t’empêche d’avancer, ce ne sont pas tes efforts… mais 3 croyances bien ancrées, qui freinent énormément la progression des intermédiaires.

Aujourd’hui, on les démonte ensemble.

Si tu t’y reconnais, tu verras probablement pourquoi tu stagnes depuis si longtemps.

💬 Croyance #1 : « Pas besoin de programme, j’y vais au feeling. »

Oui, certains athlètes très avancés peuvent s’entraîner à l’instinct.

Mais en vrai, je n’ai jamais rencontré personne qui progressait sérieusement sans aucune structure.

Même les meilleurs gardent un carnet papier ou virtuel pour noter leurs performances.
Pourquoi ? Parce que la progression, c’est battre tes chiffres de la semaine dernière.

Le problème, c’est que beaucoup de pratiquants :

sautent d’un programme à l’autre toutes les deux semaines,

ou copient des entraînements aléatoires que des athlètes publient sur Instagram… sans jamais voir la vue d’ensemble.

Résultat ? Pas de progression claire. Juste de la fatigue et l’impression de tourner en rond.

🔑 Si tu veux avancer, il te faut un minimum de structure. Au moins une feuille de route à laquelle tu te tiens pendant plusieurs mois et un suivi pour savoir où tu en es et savoir quoi battre la prochaine fois.

💬 Croyance #2 : « C’est la force qui fatigue le plus nerveusement. »

Beaucoup de pratiquants — et même certains coachs — pensent que c’est l’entraînement de force qui fatigue le système nerveux.

Tu sais, les séries lourdes, intenses, proches du max.

Mais en réalité… ce n’est pas ça qui t’épuise le plus.

La vérité, c’est que c’est surtout le volume élevé qui fatigue ton corps et ton système nerveux.

(Étude : Davies et al., 2016 ; Morton et al., 2016)

Et je le vois souvent avec les nouveaux membres qui rejoignent le coaching STENIOS.

Beaucoup étaient habitués à faire des circuits interminables : enchaîner 5 ou 6 exercices, sans repos, tous poussés à l’échec.

Ça brûle, tu finis la séance avec déjà des courbatures… et tu crois que tu as fait un entraînement payant.

Mais ce qu’ils créaient, ce n’était pas plus de progrès.

C’était plus de fatigue.

Plus de dommages musculaires.

Et surtout, beaucoup plus de temps pour récupérer.

Alors qu’un entraînement de force, lourd mais avec moins de volume… oui ça fatigue nerveusement, mais cette fatigue disparaît vite. Tu récupères plus rapidement, et tu peux progresser d’une séance à l’autre.

🔑 Ce qui freine ta progression, ce n’est pas l’intensité, c’est le volume mal géré. La vraie progression vient d’un plan clair, pas de séances qui t’épuisent juste pour souffrir.

💬 Croyance #3 : « Je peux progresser en travaillant plusieurs objectifs en même temps. »

Ça paraît logique : tu veux gagner en force, apprendre plusieurs mouvements avancés, améliorer ton cardio et ta flexibilité… alors tu mets tout dans le même programme.

Mais soyons honnêtes : même avec une bonne planification, j’ai rarement vu quelqu’un progresser de manière significative en essayant de tout travailler en même temps.

Au début, ça va. Mais tu n'es plus dans tes débuts. Alors ce qui a rapidement suivi… stagnation.
Et au lieu d’avoir 4 objectifs qui avancent, tu te retrouves avec 4 objectifs qui piétinent.

C’est souvent quand les nouveaux membres arrivent sur STENIOS que ça change.

Je les oblige à limiter leurs priorités à deux objectifs principaux :

• un mouvement de poussée,
• un mouvement de tirage.

Et devine quoi ? Non seulement ils progressent plus vite… mais parfois ils débloquent des mouvements « par accident ».

Comme Geoff, qui a réussi son premier muscle-up sans jamais l’avoir travaillé directement. Pourquoi ? Parce qu’il avait passé des mois à construire sa force de tirage.

🔑 Vouloir progresser partout en même temps, c’est le meilleur moyen de stagner. Mais réduire tes priorités, c’est le chemin le plus rapide pour avancer.

C'est ce qui conclue la partie 1 de ce Guide stratégique en 3 parties : de la stagnation à la progression.

J'espère que ces infos te seront utiles! S'il te plaît, marque ce courriel comme important car je te suggère de le relire régulièrement. Ce n'est pas parce que c'est la base qu'elle ne tombe pas dans l'oubli, parfois. ;)